Hier, j’écoutais
une vielle cassette de Simon and Garfunkel – qui était un groupe que j’associe au lycée-et “I am a Rock” a commencé à jouer. D’abord, j’étais super content parce que j’ai
toujours aimé beaucoup cette chanson. La
chanson a exprimé à la perfection comment j’ai senti et comment je me suis vu
pendant la plupart des années au lycée (et à l’université). On pourrait dire
que c’était un hymne pour moi.
Mais hier, au milieu de la chanson, toute de suite,
j’ai compris les paroles, pas comme quelque chose qui donne le pouvoir, mais
comme une perspective déprimante sur la vie.
Et j’ai senti une grande vague de tristesse pour mon ancien moi. Aujourd’hui, pour mot, cette chanson décrit
une façon de vivre que semble fausse, vide et
très triste.
Quand je me suisé fermé du monde, j’ai trouvé que j’ai senti beaucoup de
peine et peu de bonheur.
“I’ve built walls
A fortress, steep and mighty
That none may penetrate
I have no need of friendship
Friendship causes pain.
It’s laughter and it’s loving I disdain.
A fortress, steep and mighty
That none may penetrate
I have no need of friendship
Friendship causes pain.
It’s laughter and it’s loving I disdain.
I have my books
And my poetry to protect me
I am shielded in my armor
Hiding in my room
Safe within my womb
I touch no one and no one touches me”
And my poetry to protect me
I am shielded in my armor
Hiding in my room
Safe within my womb
I touch no one and no one touches me”
Et je suppose que j’ai fait un peu près ça après ma première année au
lycée. Je me suis fermé de mes amies les
plus proches et j’ai même les repousé.
Et j’ai vraiment senti que les livres et surtout la
poésie serait suffisante.
Le fait que j’ai trouvé que cette chanson m’a donné
le pouvoir, me rendre si triste pour mon ancien moi et les ans que j’ai
gaspillé avec cette prespective.
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